-> "If Rimbaud Wrote Edmund Fitzgerald"
Original Song Title:
"Le Batea Ivre (The Drunken Boat)"
Parody Song Title:
"If Rimbaud Wrote Edmund Fitzgerald"
The Lyrics
Quand ça va bien, le lac est franchissable;
D’ordinaire on peut le traverser sans douleur.
Les Peaux-Rouges ont trouvé le grand eau incroyable
Et l’ont appellé “Gitche Gumee,” nom merveilleux.
Il faut qu’un bateau là-bas ait bon equipages,
Parceque de temps en temps le vent aurai
La fortitude, et les ondes peuvent être sauvages.
Ce n’est pas de problème si ce qu’il faut, l’on fait.
Il y a un navire avec les hommes marins;
Beaucoup d’eux ont chez eux une femme et des enfants,
Et ses épouses ont le peur tous les matins
Qu’elles obtiendront des nouvelles bouleversants.
La tempête a lieu en Novembre maritime—
Possiblement traitre pour un objet qui flotte.
Elles ne veulent pas que ces hommes deviennent victime. . .
Sur l’eau, il n’y a pas un atome de motte.
Mais l’on dit que ce bateau est bien sûr,
Comme le liege qu’ on trouve dans une bouteille de vin.
Et le capitaine est un homme qui abjure
Ces peurs, sans pleurs et fleurs—it faut sortir enfin!
Il n’est pas ni homme qui écoute “La Bohème”
Sur la mer pendant qu’il voyage sur les grandes ondes.
Le capitaine pilote le navire soi-même;
Son respect pour le pouvoir de l’eau est profonde.
Mais quant aux eaux en Novembre, il faut le dire,
La météo n’est pas de bon augure ce jour,
Et pendant le jour, le temps devient pire,
Tant que les ondes deviennent plus hauts qu’une tour.
Elles se lèvent comme un rempart, puis, elles tombent,
Et le ciel se transforme d’azure à noir.
Dans la cale du bateau, les eaux de sentine bombent—
Même que c’est le jour, tout autour resemble le soir.
On ne peut pas voir le soleil. . .frénétique
Est l’orage; avec la barque, c’est violent—
On pense que ça va être catastrophique.
C’est sur: les ondes roulants ne sont pas indolents.
Le vent saute en haut; on peut entendre en les fils
Un son rapporteur qui sert à provoque le peur.
Et chaque homme marin pense a lui-même, “Tant pis!
C’est le sorcière de Novembre, le voleur.”
A ce moment, l’homme de la gastronomie
Entre sur le pont et à ses amis recit:
“Mes copains, ça m’a fait plaisir, le bonhomie
Dont nous avons partagé—merçi, je dit.”
Il emploie des phrases honnêtes mais pas morbides;
Il n’y a pas du sucre sur son gâteau
Des mots—ni en l’orage, ironiquement, torride. . .
C’est possible que le bateau coulera sous l’eau.
Mais qu’est ce qui donnera le coup de grâce
A ce navire de charge, un Leviathan
Relatif aux autres qui avance en cette place?
Mais avec la réponse, personne n’est savant.
Boulversante, l’orage n’est pas mis à son aise.
Peut-être le bateau a rompu, et chacune
Des tables, aussi chaque lampe, chaque lit et chaque chaise—
Aussi bien que les hommes—perdus en l’écume.
Peut-être ils ont chaviré, les balustrades
Du navire mettant debouts et le vent hurlant.
Tous ces facteurs possiblement sont des hasards
Qui ont envoyé le grand bateau sombrant.
Mais on n’entend rien en les téléphones. . .
Et après, quand la surface de l’eau est plus doux,
Les chercheurs s’ont allés pour chercher en les zones;
Malheureusement, ils n’ont trouve aucun époux.
Le bateau sorti, qu’est ce feront elles,
Toutes les femmes dont ces hommes ont péri dans les ondes?
Les situations courantes n’apparaissent belles,
Ni pour les brunettes, ô! ni aussi pour les blondes.
Galion perdu, qui n’est pas arrivé a l’anse,
Jeté par l’ouragan dans le grand “château”
Aquex, composé—et en lequel personne danse—
Par miliards et miliards gallons d’eau.
On trouve en le manoir de l’eau froid, pas de fêtes;
Il n’y a pas de photographies sur chaque mur.
Superior chant, Huron roule, comme les têtes
De Marie et Louis, qui ont tombé, pas sûr.
Foutu aussi, le Fitz, un fois fantastique
En grandeur pendant ses jours anciens de gloire.
Mais à l’intérieur, une scène domestique:
Les veuves espèrent de trouver en peu d’espoir.
Elles et ses fils et filles s’assemblent dans un lieu
A Detroit qui sent de moisi pour prier,
Cathédral Maritime, pétitionner Dieu,
Que possiblement Il peut aux eux expliquer.
Qui sais où va l’amour de Dieu? demandent ils
Pendant qu’ils se souviennent des voyageurs
Qui au lac n’avaient pas accès à un île.
C’est bien évident qu’ils ne sont pas joyeux.
Ce qui est arrivé au navire est navrant,
Et les larmes de ceux que restent là sont amères,
Pour tous les hommes qui vont sur l’eau, naviguant,
Même que ça soit sur les lacs ou sur les mers.
Ces jours çi, il est Superior qui cache
Les os de ceux du Fitz, qui sont enbaumés
Dans l’eau froid, qui d’antan n’etaient pas du tout lâche.
La cloche de l’église vingt-neuf fois a sonné.
Mais l’histoire est aussi tranchant comme une lame,
Et des Peaux-Rouges jusqu’a nous descende les mots.
Le lac ne donne pas les morts a ceux qui brament
Quand les vents de Novembre viennent bientôt.
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